Syndrome Marilyn

« Ser una Marilyn… Convertirse en un monstruo, una criatura hecha de miles de piezas. Limpia por fuera, limpia por dentro. Nunca sabes cuándo vas a caer en una trampa mortal. Sonriente a pesar de todos los mordiscos. La sonrisa como etiqueta, como carta de presentación. Humillarse hasta el límite, arrastrar el esqueleto hasta morir. Podrías encarnarte? Habeis venido por Marilyn, lo siento, está muerta… » Julie Pichavant

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« Dans cette création, signée Zart Cie, Julie Pichavant autopsie, dissèque et revisite le mythe Marilyn. Le moins qu’on puisse dire est qu’elle n’y va pas avec le dos du scalpel. L’énergie punk est ici bouillonnante: plongée charnelle entre glamour et trash, on assiste au sacrifice de l’icône hollywoodienne version 2.0 sur l’autel de la société du spectacle ». QS – Clutch Novembre 2014

« Une comédienne de la famille restreinte des performeuses. Regard bleu acier et petits poings serrés. Julie Pichavant, c’est de l’énergie en barre et de la sensibilité en concentré ». Bénédicte Soula – Le Brigadier Novembre 2014

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« Syndrome Marilyn est mon premier texte porté à la scène à partir du mythe de Marilyn Monroe ou T’arrives à t’incarner toi? Une Marilyn post-punk expose ses failles, le mythe hollywoodien est revisité à travers le prisme de notre époque. Spector ergo sum : je suis regardée, donc je suis. Les paparazzis planqués dans les poubelles ont remplacé les photographes guindés des studios Harcourt. Une plongée charnelle dans la psyché de la vraie Marylin où le divan du psy prend des allures de table d’opération.
La voix métallique web 2.0 de cette Marilyn lacère le texte tel un scalpel qui interroge les mythes dans leur chair, désosse méchamment les figures essentielles qui nous construisent et nous laisse nus, face à nous même et notre désir.

Marilyn / héroïne d’une tragédie du mercantilisme. 

J’ai cherché à faire la critique d’une société où le corps se livre en pâture, offert comme s’il n’existait qu’à travers sa matérialité, son attrait sexuel. L’écriture part du mythe pour donner à voir un  être dans son désir d’être au monde et d’exister au-delà des artifices. Il s’agit d’une partition de la dé-construction du mythe. Docteur, est-ce qu’engager le physique par tous les moyens modifie le  psychisme ?
Je détourne les attributs de l’icône, perruque blond platine, robe blanche pour opérer un renversement des codes : être une Marilyn c’est devenir un monstre. » Julie Pichavant

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De et avec Julie Pichavant
Direction d’acteur Esperanza López
Régie générale Alberto Burnichon
Lumière Patrick Cunha
Assistant technique Fabien le Prieult
Création sonore Fabrice Camboulive
Collaboration  Philippe Pitet
Création costumes Sabrina Marletta

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Avec le soutien de la Ville de Toulouse / de la Région Occitanie / du Conseil Départemental de la Haute Garonne / de la SPEDIDAM / de Mix’art Myris / du Théâtre Le Ring / du Théâtre Le Vent des Signes / du CIAM – Université Toulouse Jean Jaurès / de La Friche Laiterie / du Hall des Chars / de L’Estruch Fàbrica de creatió – Sabadell / de L’Alliance Française de Sabadell.

Production : Les Thérèses – n° de licence d’entrepreneur : 2-1023023 et n°3-1023024
6 Impasse Marcel Paul, Z.I Pahin, 31170 Tournefeuille – France

Traduction du texte en espagnol Hélène Vietti

Photo  affiche CHA production
Crédit Photo Sophie Gisclard

Collaboration vidéos : Guillaume Bautista

Conception Graphique Studio 7 bis

« Syndrome Marilyn fué mi primer texto llevado a escena, se trata de una auto-ficcion donde una Marilyn post-punk expone sus fallas, el mito hollywodense es revisitado a traves del prisma de nuestra época donde el glamour roza la trash actitude ».

Una inmersion carnal dentro de la psiquis de la «verdadera» Marilyn, donde el divan del psy toma la forma de mesa de operacion.

En este espectaculo-performance, autopsiamos el mito Marilyn, el cuerpo convertido en objeto es disecado, sacirficado en el altar de «la sociedad del espectaculo».

Los paparazzis escondidos en las basuras remplazaron a los fotografos chic del estudio Harcourt.

La voz metalizada de esta Marilyn 2.0 lascera el texto como un escalpelo que interroga los mitos en su carne, deshuesa perversamente las figuras esenciales que nos construyen, y nos deja desnudos, frente e nosotros mismos y nuestro deseo.

Marilyn: figura sublime tanto como patética, la heroina, mal que le pese, de una tragedia del mercantilismo.

 

La Fabrick Théâtre-Millau- © Cécile Adsila Flahaut

La Fabrique-Université Toulouse Jean Jaurés- ©  Sophie Gisclard

Espace Roguet Toulouse-©  Franck Alix

© Festival Femme Scandal ! -Mixart Myrys Toulouse

Théâtre le Vent des signes Toulouse-©  CHA production

Festival Baignade Interdite Gaillac- © Ariane Ruebrecht

Festival Internacional de Arte Contemporaneo de Manizales-Colombia

Festival Performance para la Vi(d)a Maria Teresa Hincapié Armenia-Colombia

L’Estruch Fabrique de création, Sabadell @Visages Vagabonds

Festival Zone Artistique en Zone Industrielle-Waselonne

Lieu commun-Artist Run Space-Art contemporain-Toulouse

Le Brigadier@Benoit Chatelier-CHA production